Acquisitions Récentes

[RBD]

Zanias : Ecdysis. Le label a mis deux mois à expédier les exemplaires physiques depuis Berlin, mais une fois parti il est très vite arrivé. Sorti même pas un an après le précédent, il marque un nouveau virage, dans le genre éternel retour.

In Vain : Solemn.
Atrae Bilis : Aumicide.
Je mise pas mal sur ces deux nouveautés prises chez Season of Mist. In Vain est à peu près le seul groupe Norvégien dont je sois vraiment fan, les premiers albums m’avaient bien marqué. Et Atrae Bilis a un potentiel avec leurs riffs originaux, j’attends une confirmation.

[Arioch91]

Hekseblad - Kaer Morhen (2024)

Du Black Metal épique américain, avec une pochette rappelant un célèbre album d'Emperor et dont le thème central est The Witcher. Je dis banco !

[RBD]

Mass Infection : Atonement for Iniquity. En me replongeant dans la discographie des Grecs, j’ai remarqué que le premier album avait été réédité par un petit label français encore inconnu de moi, Meat5000 records, basé à côté de Sedan… et dont on imagine aisément l’incarnation en un seul et unique passionné qui fait tout.

GRIND : Songs of Blood and Liberation.
GRIND : Grace and Misery. Le second album de ce groupe Allemand (Flensbourg, contre la frontière danoise) vient de sortir et m’a permis de le découvrir. Mais la dernière sortie n’est disponible qu’avec un livret grand comme un 7 pouces. En l’ouvrant j’ai cru que je m’étais trompé en faisant ma commande, avant de découvrir dedans un petit CD normal. Ça ne va pas être pratique pour le ranger !

[RBD]

Kerry King : From Hell I Rise.

Gatecreeper : Dark Superstition.

Il y a un peu de pression sur chacun, même si je ne les ouvre pas la main tremblante. Ce qui me fait surtout peur, c’est que maintenant je vais vraiment devoir acheter une colonne de plus, et je ne sais pas comment la caser ! Je n’en parlais pas, mais cela me stresse depuis des mois.

[RBD]

Ulcerate : Cutting the Throat of God.
Clan of Xymox : Exodus.
Camerata Mediolanense : Atalanta Fugiens.

Commandés ensemble chez Season of Mist. J’attends pas mal de deux d’entre eux, et beaucoup plus de la routine du CoX. J’espère que les autres commandes des dernières semaines vont arriver avant les élections…

[RBD]

Morgue : Close to Complete Darkness. Venu de son label Polonais, alors que c’est l’oeuvre de vieux camarades de la région… Le facteur l’a donné contre signature à ma voisine, tout le monde se connaissant. Mais heureusement qu’elle ne l’a pas ouvert ! Le disque était encartonné dans un reste de pochette d’un obscur split album de True Black gavé de chaînes, pentagrammes et photos sanglantes de musiciens à face de craies baignant dans le sang et les caractères pseudo-gothiques.

A.A. Williams : Forever Blue. Quand on y repense trop, c’est qu’on aime et qu’il faut acheter. En grattant un peu, le premier album était parfaitement disponible en cd, chez une grosse plateforme allemande via la FNAC.

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AA Williams : l’EP éponyme.
AA Williams : Songs from Isolation.
AA Williams : As the Moon Rests.

Presque tout le reste de sa discographie, que j’ai cru mieux de commander directement auprès de l’artiste. Sauf que c’était pile le moment où elle déménageait son stock ce qui a reporté le traitement de deux semaines. Plus les frais de douane pour un produit importé du Royaume-Uni. Passer par un gros distributeur aurait sans doute été moins cher et plus rapide. Mais en bonus il y a quelques autocollants et un petit mot de remerciement manuscrit dont je pense qu’il est réellement écrit par la mère Alix, ce qu’aucune vente en ligne n’aurait offert.

[RBD]

Ceremony of Silence : Hálios. J’avais presque oublié cette commande anticipée depuis un bon moment auprès de Willowtip, éclipsée par l’arrivée de l’Ulcerate dans l’intervalle et dans le même style. Et pourtant, je mise pas mal sur le second album des Slovaques aussi.

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Des petits compléments de discographie, par bandcamp :

A.A. Williams : Arco. Il n’est déjà plus disponible au format physique original, tant pis pour moi.

A.A. Williams & Mono : Exit in Darkness. Cette brève collaboration entre un groupe assis sur une belle réputation et une inconnue avait bien aidé cette dernière à gagner précocement en notoriété.

Disentomb : Sunken Chambers of the Nephilim. Le premier album de 2010, paru originellement sur un petit label australien qui n’a plus d’activité depuis longtemps.

Mvtant : Electro Body Horror. Je l’ai commandé en physique au printemps auprès du label américain, dont les frais de port transatlantiques qui allaient avec. Cela me consolait un peu quand j’ai renoncé à aller revoir l’artiste au Molotov (j’avais déjà deux concerts cette semaine-là). Après plus de deux mois d’attente en vain, j’écrivis au label pour demander des nouvelles. Aucune réponse. Je l’ai donc téléchargé (et gravé) mais je l’ai mauvaise et l’album a intérêt à être bon.

GRIND : Uncontaminated by Dust of Old. Trois titres uniquement en numérique pour prolonger les sensations du très bon album sorti cette année.

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White Stones : Memoria viva. Avant le retour d’Opeth, l’autre groupe de Martin Mendez a sorti son troisième album peu avant l’été. Les deux premiers pouvaient consoler les nostalgiques du growl dans la formation principale. Sur celui-là, le chant est en espagnol. On va bien voir.

[RBD]

Deadspeak : Plagues of Sulfur Bound. Premier achat auprès du petit label Néerlandais Raw Skull, pour ce premier album sur lequel je me suis retourné au fil de mes déambulations régulières dans les tréfonds de l’underground.

[RBD]

Disentomb : Nothing Above. Ce mini 4 titres annoncerait une nouvelle petite évolution. Il n’est disponible qu’au format numérique, Unique Leader renonce de plus en plus au physique surtout sur les sorties courtes. C’est significatif.

Asinhell : Impii hora. L’an dernier il était arrivé à un moment où j’avais déjà trop de Death Metal à acheter. Pourtant, il m’avait d’autant plus surpris qu’à la base je n’aime pas Volbeat.

Living Gate : Suffer as One. J’avais bien aimé le mini de ce supergroupe, alors on suit. Comme le précédent, il me vient par Season of Mist.

[RBD]

Soror Dolorosa : Mond. En cd, il n’y a que l’édition limitée luxueuse disponible. Comprenant vite une fois la date de parution passée qu’en l’ayant réservé à la Fnac je ne l’aurai jamais, j’ai annulé pour passer par bandcamp, pour quasiment le même prix, envoyé par Prophecy. Puis j’ai passé trois semaines à attendre… avant de constater qu’en réalité il pourrissait à la Poste sans qu’aucun avis de passage n’ait été laissé ! J’ai couru le chercher en revenant du concert à Paris le dernier jour avant la fermeture, et ouf ! Déjà que je ne pourrai pas être là quand ils vont revenir à Montpellier, paumer l’album aussi bêtement aurait été lourd.

[RBD]

Emasculator : The Disfigured and the Divine. Vous allez me traiter de trendy et féministe à bon compte, mais c’est plutôt que je ne me console pas de la séparation du premier groupe de Mallika (Abnormality) et que je n’aime pas trop celui où elle s’est recasée (Unfathomable Ruination). Alors si elle en monte un nouveau, ça m’intéresse. Tout comme elle a réalisé la jaquette, l’envoi du disque depuis Prague et l’étiquette d’expéditeur montrent qu’elle a envoyé elle-même l’album et non pas le label Américain, ce qui explique le délai de livraison assez court. C’est tellement 1986, j’adore !

[RBD]

Opeth : The Last Will and Testament. Je reste méfiant envers l’annonce du grand retour des growls (ils finiraient bien par réapparaître à un moment donné, déjà qu’en live Mikael avait fini par y revenir), car je ne m’attends pas du tout à ce que cela signifie un retour pur et simple au style des années 2000 qui avait érigé Opeth en référence absolue.

[RBD]

Sang Froid : The EP Compilation. Sortie juste au lendemain du concert, c’est dommage qu’ils ne l’aient pas fait juste avant je l’aurais prise au stand. Mais la livraison par Frozen Records a abouti sans aucun accroc. Cela tombe bien, j’ai une autre commande dans le même style qui est retardée.

[RBD]

Kodama : Telos. Découvert par les chroniques de Metalnews, ce groupe Londonien m’a donné un gros coup de jeune dès la première écoute, impossible de rester à côté. Il m’est parvenu sans difficulté à tarif économique, ce qui est un petit luxe dans le monde contemporain.

[RBD]

Skeletal Remains : Desolate Isolation.
Morgue : Artgore.
Mutagenic Host : The Diseased Machine.

Premières acquisitions de l’année auprès du label et distro’ Madrilène Memento Mori. Je cherchais d’abord le Mutagenic Host qu’il est le seul à publier en CD. Mais il y avait un déstockage très intéressant qui m’a permis de mettre la main sur la compilation des débuts de Skeletal Remains qui n’était vendue qu’en pack Vinyle + CD à ma connaissance, et une réédition du deuxième album de mes camarades de Morgue. Raul est très pro et suit avec rigueur ses expéditions, j’y reviendrai avec plaisir.

[RBD]

Light Asylum : l’unique album, éponyme. Je l’ai revu cité par Alison Lewis comme inspiration importante en interview, et je m’en souvenais. En 2012 je l’avais effectivement remarqué mais j’avais fait l’impasse dessus : dans ce créneau Dark-Wave EBM, j’étais alors entièrement captivé par la scène du siècle dernier que j’étais en train d’explorer, et indifférent aux quelques nouveautés. Avec le recul, on perçoit mieux la valeur de ceux qui cherchent une troisième voie différente de la perpétuation de l’Electro-Punk bière en mains (souvent confondue avec la scène Skinhead) et de la réappropriation par des DJ’s sur un format club mix, plus populaire. En passant, l’Amérique affermit le pied qu’elle remet peu à peu dans ma discothèque non Metal. Je l’ai eu par la FNAC et Momox, tout bêtement, au moins avec eux il n’y a jamais de problème de livraison il faut le reconnaître.

Obscura : A Sonication. Cette fois je l’ai pris à la boutique de la FNAC, comme dans le temps. Hors de la polémique je ne me suis pas intéressé au contenu à l’avance, et ouvert à (presque) toute évolution éventuelle qu’elle soit dans la direction du précédent, un retour en arrière ou une bifurcation vers autre chose.

[RBD]

Light Asylum : In Tension. Le mini qui avait précédé l’album, avec leur titre le plus connu. C’est une chance qu’il soit encore disponible au moins en numérique. C’est la première fois que j’achète sur Bleep, plateforme peu tournée vers le Rock ou le Metal (même s’ils ont quelques beaux labels au catalogue). En tout cas ça fonctionne très bien, on n’a même pas besoin de créer un compte. Y’a plus qu’à graver.

[RBD]

Future Faces : Memoria. Enfin là ! Sorti fin novembre je l’avais précommandé. Mais comme les pressages sont arrivés en retard, le groupe n’a pu les expédier qu’à la veille de Noël… juste quand mon facteur habituel est parti en congés. Et pendant la dernière semaine de l’année, plusieurs courriers et colis attendus par des gens de mon immeuble ne sont jamais arrivés, à la saison des cadeaux comme par hasard, et je n’ai pas vu l’album. Une fois les délais écoulés, j’ai été bon pour le recommander à mon adresse professionnelle où il est arrivé sans problème. Par principe j’ai fait une réclamation à la Poste, qui m’a répondu évidemment que le remplaçant avait fait renvoyer à l’expéditeur... Vous avez saisi l’explication simple à laquelle je pense plutôt.